luma-az - Luma Azane
Luma Azane

French writer, écrit de la SFFF et des fanfictions, poste sur l'écriture et reblogue Pratchett

834 posts

Like. The Quote I Do Not Love The Bright Sword For Its Sharpness, Nor The Arrow For Its Swiftness, Nor

Like. The quote “I do not love the bright sword for its sharpness, nor the arrow for its swiftness, nor the warrior for his glory. I love only that which they defend” is such an integral quote/concept to LOTR that I just cannot for the life of me comprehend how people come away from LOTR inspired to write the grimdark i-love-war-and-suffering stories that populate fantasy

  • yumehii
    yumehii liked this · 1 year ago
  • likesgohereyeah
    likesgohereyeah reblogged this · 1 year ago
  • katiesmad
    katiesmad liked this · 1 year ago
  • rawrsally
    rawrsally reblogged this · 1 year ago
  • rawrsally
    rawrsally liked this · 1 year ago
  • letsreadwomen
    letsreadwomen reblogged this · 1 year ago
  • alicesoinions
    alicesoinions liked this · 1 year ago
  • a-boros-named-seamus
    a-boros-named-seamus reblogged this · 1 year ago
  • boromirswife
    boromirswife liked this · 1 year ago
  • daenora-targaryen
    daenora-targaryen liked this · 1 year ago
  • daenora-targaryen
    daenora-targaryen reblogged this · 1 year ago
  • music-is-love-90
    music-is-love-90 reblogged this · 1 year ago
  • celaenadeathvow
    celaenadeathvow reblogged this · 1 year ago
  • distractedmuse
    distractedmuse liked this · 1 year ago
  • katiezookat
    katiezookat reblogged this · 1 year ago
  • prebeartobemoosified
    prebeartobemoosified liked this · 1 year ago
  • clockwork118
    clockwork118 reblogged this · 1 year ago
  • alh3na09
    alh3na09 liked this · 1 year ago
  • mura171
    mura171 reblogged this · 1 year ago
  • shrimps-and-prawns
    shrimps-and-prawns reblogged this · 1 year ago
  • mobilestates
    mobilestates reblogged this · 1 year ago
  • motleyreviewsbackup
    motleyreviewsbackup liked this · 1 year ago
  • wuzzyletoastermac
    wuzzyletoastermac reblogged this · 1 year ago
  • dragons-and-cake123
    dragons-and-cake123 reblogged this · 1 year ago
  • dragons-and-cake123
    dragons-and-cake123 liked this · 1 year ago
  • celaenadeathvow
    celaenadeathvow liked this · 1 year ago
  • be-a-warrior-not-a-worrier
    be-a-warrior-not-a-worrier reblogged this · 1 year ago
  • notsayingthisright
    notsayingthisright reblogged this · 1 year ago
  • la-monna-smile
    la-monna-smile reblogged this · 1 year ago
  • frogsondeckchairs
    frogsondeckchairs reblogged this · 1 year ago
  • frogsondeckchairs
    frogsondeckchairs liked this · 1 year ago
  • jackofacetrades
    jackofacetrades reblogged this · 1 year ago
  • notahorsebutcremebrulee
    notahorsebutcremebrulee reblogged this · 1 year ago
  • victorvalesss
    victorvalesss liked this · 1 year ago
  • leighindigo
    leighindigo reblogged this · 1 year ago
  • ironlike
    ironlike reblogged this · 1 year ago
  • ironlike
    ironlike liked this · 1 year ago
  • victorvalesss
    victorvalesss reblogged this · 1 year ago
  • the-trees-have-spirits
    the-trees-have-spirits reblogged this · 1 year ago
  • pulim-v
    pulim-v reblogged this · 1 year ago
  • pulim-v
    pulim-v liked this · 1 year ago
  • amalgrim
    amalgrim liked this · 1 year ago
  • stmcfadd
    stmcfadd liked this · 1 year ago
  • queerpoeticmemory
    queerpoeticmemory reblogged this · 1 year ago
  • stevishabitat
    stevishabitat reblogged this · 1 year ago
  • dannace
    dannace reblogged this · 1 year ago
  • dannace
    dannace liked this · 1 year ago
  • abjasblog
    abjasblog reblogged this · 1 year ago
  • abjasblog
    abjasblog liked this · 1 year ago
  • soyala04
    soyala04 reblogged this · 1 year ago

More Posts from Luma-az

4 years ago

Tagged by @sous-le-saule, thank you ! I'm trying to answer in English this time

Rules: Tag 9 people you want to know better.

Three ships: Jakub/Cheshire in Bang!Bang!Boom! (it’s canon and I love them), Geralt/Jaskier in the netflix’s show the Witcher, Sam Gamegie/Frodo in LOTR (and the end killing me)

Last song: Hit the zombies by Magoyond (I had it in my head all day)

Last movie: Spiderman (2002) (nearly 20 years. Its weird)

Currently reading: “Déraillé” (in English Raising Steam) by Terry Pratchett, because I re-read all Discworld, take me 2 years but I’m close to the end. I like this book and the gobelins, but it isn’t my favorite of this series.

Currently watching: Fate Zero, because my husband insist. Yes, it’s an anime interesting, with philosphy and good characters, but... I want to see half of the characters dead, I want to save the other half and hug them, and the writers want the exact opposite so I know I'm going to cry hard at the end.

Currently consuming: infusion with apple, cinnamone and almond. Yeah like a cake, but liquid.

Currently craving: sleep. I could go to sleep by the way. But I don’t want to sleep. Its complicated.


Tags :
4 years ago

Ma maison

Défi 30 jours pour écrire, sujet : Déménager/si j’étais invisible

.

.

Je déteste déménager.

Normal, me direz-vous. Tout le monde déteste déménager. Mettre sa vie dans des cartons, trier, virer, et s’épuiser à la replacer à peu près dans l’ordre, goutte à goutte, dans un autre endroit, qui pourrait aimer ça ?

Je l’ai fait pourtant, si souvent. Tous les trois ans, à peu près, c’était une habitude avec ma mère. Première année, investir le nouvel endroit. Deuxième année, bougeotte, tous les meubles changent de place au moins une fois. Troisième année, marre, au moins une bonne raison de changeait d’air, et hop, on filait.

Après, ça a été les études, encore pire – j’ai déménagé tous les ans, à par le master 1 où j’ai réussi à rester au même endroit deux ans d’affilés. Puis ça a le retour au pays – un an et demi du petit studio qui m’a servi d’escale le temps de trouver du travail, six mois pour partager un appartement, puis enfin du travail et re-déménagement dans un vrai appartement. Là, têtue comme une bernicle, je suis restée cinq ans accrochée à mes murs, même si j’avais à peine la place de me retourner au milieu de mon bazar. Tous mes livres étaient avec moi, mon cocon était plein comme un œuf, mais je ne voulait pas partir.

Donc maintenant que j’ai une maison et que j’ai péniblement tout casé dedans, non, je ne bouge plus. Je vais vieillir ici, m’y faire pousser des racines si profondes qu’aucun sécateur n’en viendra à bout, lui faire prendre toutes les apparences et la remplir de toutes les décorations les plus farfelues, mais je ne bouge pas. Le monde peut bien s’écrouler, ici c’est chez moi. Je me fous de « réduire la valeur de mon bien » et toutes ces conneries. Je ne la vendrai pas. C’est ma maison et je ne veux plus jamais déménager.

Quand je mourrais, je resterai encore là. Je serai un fantôme invisible et je surveillerai ce qui s’y passe. Je n’embêterai pas les vivants, bien sûr. J’ai été bien accueillie par les fantômes des précédents propriétaires. La maison n’avait connu qu’un couple de propriétaire depuis sa construction, avant nous. Ils l’ont achetée jeunes mariés et y sont restés jusqu’à leur mort. C’est très bien. C’est ce que je planifie de faire aussi.

Je serai sage, mais je serai là. Je jugerai silencieusement la bibliothèque des nouveaux arrivants, je squatterai leur canapé pour regarder la télé, j’allumerai leur console au milieu de la nuit. Ou autre gadget futuriste. J’ai le temps de voir venir.

Et quand l’exorciste qui finira par arriver me demandera ce que je fais encore sur cette terre, je lui expliquerai : c’est ma maison, et je déteste déménager.


Tags :
4 years ago

Le camion a gagné

Défi 30 jours pour écrire, sujet : l’orange/Game over

.

.

Je suis passé à l’orange. Je n’aurais pas dû.

Vous comprenez, j’étais pressé. Et comme on dit, orange pressée… Hum. J’étais sûr de tenir quelque chose là, mais ça m’échappe.

Bref. J’étais plus que pressé, en fait, j’étais en retard. Et j’étais mort si j’arrivais en retard. Du coup, qu’est-ce qu’on fait quand on part en retard et qu’on veut être à l’heure sur la ligne d’arrivée ? On accélère. On prend des risques. On passe à l’orange. Tout ça.

Peut-être que mon orange était un peu mûre. Sanguine, même.

Ha. Un bon jeu de mot, ça. Orange sanguine.

Parce que c’était un orange un peu rouge, il faut bien l’avouer. Et que là, si on regarde le résultat. Ben. Du sang… il y en a.

Et pas qu’un peu.

Bon. Cette blague était peut-être un peu de mauvais goût. Too soon, comme disent les anglophones.

Désolé.

C’est mon truc, l’humour. C’est pas que je sois bon. Mais ça ne m’empêche pas. Surtout quand je suis stressé, en fait. Je masque avec l’humour.

Mais ce n’est peut-être pas le moment.

Vous êtes venu me chercher, n’est-ce pas ?

Je veux dire… ça ne sert à rien que je reste autour de l’accident, non ? Je ne vais pas hanter ce carrefour. Mais peut-être que je dois suivre mon corps ? Le samu arrive. Ils vont m’emmener à l’hopital, non ? Si jamais ils arrivent à… à faire quelque chose. Je peux y retourner, dans mon corps. Non ?

Oui, bon, ils l’ont mis dans la housse. Ça s’est pas bon signe.

En même temps, voiture contre camion, le camion a gagné. Il fallait s’y attendre.

Mais je ne pensais qu’il avait gagné, gagné. Je me disais que c’était encore jouable, avec de la chance. Vous savez, comme dans les séries médicales où ils récupèrent le gars alors qu’il est mort depuis deux minutes et qu’il a vu la lumière.

Peut-être que ces gars sont vachement moins plats, maintenant que j’y pense.

Je ne vais pas revenir, alors ?

Non, ce n’est pas que je ne veux pas vous suivre, c’est juste que… On va où, en fait ? Il va se passer quoi, après ?

Il y a bien un après, n’est-ce pas ?

En tous cas, putain d’orange.

Une orange sanguine trop pressée.

Hum. Je suis sûr qu’il y a un moyen de faire fonctionner cette blague…

.


Tags :
4 years ago

Voix

Défi 30 jours pour écrire, sujet :  Entre-deux/"Ce qui me manque le plus c'est la manière dont tu m'aimais"

.

.

Elle est dans l'attente de son nouveau travail – ni embauchée, ni rejetée, un entre-deux qui la laisse perchée, hésitante, un pied en l'air, sans savoir où le poser. Parce que pour le moment, elle doit anticiper, elle. Planifier la suite, une direction ou une autre, un déménagement avec toute sa ribambelle de démarches, ou de nouvelles recherches d'emploi avec leurs heures interminables sur l'ordinateur. L'un et l'autre l'épuisent d'avance, on pourrait donc penser que c'est au final le plus reposant, cet entre-deux, ce ni-ni qui la sauve de pouvoir commencer quoi que ce soit. Et bien pas du tout. Ça la ronge, cet entre-deux. Ça la bouffe de stress au moment où elle aurait besoin de toutes ses forces. Ça lui martèle en permanence : "Tu n'aurais pas dû faire ça, tu n'as pas fait le bon choix, et maintenant regarde on t'ignore, tu voulais faire ta vie, être indépendante, tout ça pour qu'on te traite comme si tu n'existais pas."

On a tous des petites voix dans la tête, mais les siennes sont assez perfides. Méchantes, même. Toujours à ressasser, à appuyer là où ça fait mal. En temps normal, la routine suffit à les faire taire. Pas en ce moment. Les doutes, les regrets, les souvenirs un peu flous où on se demande si après tout, on n'aurait pas pu faire autrement, si ça n'aurait pas pu marcher, avec quelques efforts, quelques compromis, c'était peut-être un peu sa faute aussi…

Elle appelle son ex.

Très mauvaise idée, soit dit en passant. Echapper à ses voix internes pleines de reproches pour se raccrocher à une voix externe maître dans l'art du passif-agressif, ce n'est pas une bonne façon de prendre soin de soi. Mais il s'y connait en entretien d'embauche et elle se dit qu'elle pourra lui demander si c'est normal, ce long silence. Elle espère qu'il pourra la rassurer. Triomphe de l'espérance sur l'expérience, une fois de plus.

Ils parlent. Beaucoup. Au moins la question du travail est oubliée. Ils parlent du plein, un long voyage nostalgique au pays de leurs souvenirs communs. Il lui dit qu'elle lui manque. "Tu sais, ce qui me manque le plus c'est la manière dont tu m'aimais." Il a l'art de ce genre de formules. Une façon poétique de parler d'amour, toujours un peu inattendues, délicate, attentionnée. Qui dans sa bouche ne veut rien dire. Comment est-ce qu'elle l'aimait ? Comme elle pouvait, mais ce n'était jamais bon, à l'époque. Trop fort, pas assez, trop collante, trop distance, elle a entendu tout et son contraire.

Et elle, comment est-ce qu'il l'aimait ? Il lui donnait de la validation, parfois. De l'assurance, de la hargne, il l'armait contre le monde hostile. Puis elle le contrariait et il balayait tout ça d'une phrase, d'un mot, parfois d'un seul regard déçu avec long soupir. Elle bâtissait sous son regard approbateur, et elle bâtissait sur du sable.

A présent… non, elle n'est pas plus sûre d'elle, certainement pas. Un entre-deux l'affole, ce flou fait ressurgir le pire de ses angoisses. Mais elle avance. Elle bâtit, en prenant son temps, la peur au ventre souvent, mais c'est solide. Elle sait qu'elle peut s'appuyer dessus. Quoi qu'il arrive, elle a des options, des possibilités.

Il lui propose de prendre un café ensemble, un de ces jours. "Ne fait pas ça", lui souffle une voix intérieure. Ah, elle n'est pas hostile celle-là. On l'entend rarement, mais elle sait ce qu'elle fait et surtout ce qu'elle ne doit pas faire. La voix de l'expérience.

Elle lui demande des nouvelles de sa femme. Il répond "Oh, tu sais, les vieux couples… il n'y a plus la magie du début. Ce n'est pas comme nous. J'ai l'impression qu'on avait une alchimie, le genre de choses innée qui ne disparait jamais, tu vois ?"

Elle voit très bien.

Elle lui promet de rappeler pour le café et raccroche. Re-vérifie ses mails. S'allume une cigarette.

Une pause. Hors du temps. Pas de regard en arrière. Pas de regard en avant. Rien que le présent.

Elle peut le faire.

 .


Tags :
4 years ago

Accélérer jusqu’à ce que ça s’arrête

Défi 30 jours pour écrire, sujet : Absurdité/tout devient beau quand ça s’arrête

.

.

Je claque des doigts, et le temps s’arrête.

Bon, en réalité le temps ne s’arrête pas, c’est moi qui accélère tant que le monde est immobile à mes yeux. Mon pouvoir est puissant, mais pas au point de geler une des forces qui régit l’univers tout entier, même si je l’ai longtemps cru. C’est mon côté un peu mégalo. Qui n’a jamais rêvé que tout s’arrête pour lui ?

C’est comme le coup du claquement de doigts. Je n’en ai pas besoin, il suffit de le vouloir pour déclencher mon pouvoir. Mais j’adore ça. C’est tellement plus classe. Surtout au milieu d’une conversation. Et blablabla, tu n’as pas fait ci, et blablabla, tu as fait ça, et blablabla, assumer les conséquences de tes actes… tellement barbant. C’est tellement bon, à ce moment là, de fixer l’autre dans les yeux, de lui faire un petit sourire complice, de claquer des doigts… et de disparaitre.

Et puis le monde est si beau quand il s’arrête. Les films à gros budget tentent de le mettre en scène, mais ils restent toujours en dessous de la réalité. La lumière n’est pas la même, l’air qu’on respire non plus, et chaque objet touché bouge d’une manière qui n’a plus rien à voir avec la physique ordinaire. On est dans un monde onirique, magique, un monde qui n’est qu’à moi. Mon refuge est la Terre entière, devenue mon terrain de jeu personnel. Je peux y faire tout ce que je veux. Et je ne m’en prive pas.

Tout a un prix, cependant. Ce n’est pas que j’ai à assumer les conséquences de quoi que ce soit, heureusement, mais jouer avec le temps a des effets. Plus je passe de temps en accélération, plus je vieillis. J’y reste à mon échelle une heure ou deux par jour, et au bout d’un an j’ai vécu un an et un mois. Au fil des années, ça se voit. Surtout que ça fait longtemps que je ne me suis plus limité à une heure ou deux par jour.

À quoi bon vivre dans le temps ? La société est une absurdité. Travailler à des tâches qui n’ont aucun sens pour finir épuisé, à tenter de se distraire avec le peu qu’on a à portée de ses capacités financières… Absurde. Je fige le temps, j’ai dormi dans des palaces, mangé dans les plus grands restaurants, caressés des dauphins sauvages figés en plein bond et fait la sieste avec des tigres comme oreiller, j’ai vu le monde comme aucun autre humain ne pourrait le voir, et on voudrait que je me contente de la télé ? À quoi bon revenir dans le flux du temps ?

Les gens, j’imagine. Ils ne peuvent pas me suivre dans le temps figé, c’est donc à moi de me ralentir pour les attendre. Et je l’ai fait, il ne faut pas croire. Beaucoup. Souvent. Parfois.

Ҫa dépend de qui on parle, on va dire.

Mes amis d’enfance entrent tout juste au lycée et j’ai déjà trop de cheveux blancs pour les cacher. Mon identité officielle n’est plus crédible depuis longtemps. Je n’ai plus vraiment d’espoir de retour. J’ai ralenti, parfois, pour certaines personnes. Ҫa a été beau. Puis plus du tout. Ça n’a jamais duré. Difficile de se motiver à faire des efforts et à trouver des compromis quand il suffit de se laisser aller pour avoir tout ce qu’on veut. Et ils ne comprennent pas. Ou alors ils comprennent trop bien et sont intéressés par ce que je peux obtenir grâce à ce pouvoir. Ou alors je me méfie trop et je deviens parano. Trop de solitude. Seul dans un monde magique où l’humanité entière est ma chambre remplie de peluches, que je peux utiliser à ma guise pour être mes amis imaginaires. Je n’ai plus envie de revenir. Et rien ne m’y oblige.

Aujourd’hui est une journée parfaite. C’est décidé. Aujourd’hui pour moi ne finira jamais. Salut, les loosers. Continuez  vos petites vies à deux à l’heure. Moi, je vais m’amuser encore un peu.

.


Tags :