Tristesse - Tumblr Posts

Aaaaaaaaaa SO FUC- CUTE ✨✨✨🌸🌸

AND SO FuCkInG SAd ➖💥

J'ai trop de mal

J'ai réouvert ce blog qui m'avait servit lors d'une candidature en école d'art. J'sais même pas vraiment ce que je fous ici, à part chercher un défouloir. Je pourrais utiliser un carnet, c'est vrai. Mais c'est que l'idée de pouvoir être lu me plaît. Même si, je suis consciente que peu de monde passera ici. J'ai besoin de parler, toutes ces choses dans ma tête, elles vont finir par me faire exploser.

Pourtant j'ai vraiment des rêves, des projets. Le dégoût et la peur de ce monde, de la condition d'être vivant, ça prend toujours le dessus. J'arrive plus à me lever en ce moment. J'me suis dit, essaie au moins d'écrire quelques trucs histoire de te vider l'esprit. Je sais, et je vois, qu'il y a des choses merveilleuses autour de moi… c'est leur éphémérité qui me tue.

Je comprends pas où est passé mon insouciance, et cette force d'avancer malgré tout ? Non, aujourd'hui, le moindre courant d'air me détruit, et tout semble (est) cruel et dégueulasse

et il faut ramasser les miettes

encore et encore

Livres d’images

Assise sur le canapé

Je tourne lentement les pages

où s'égrènent une flopée

d’enivrantes images

Nadia Becker peint la douceur des nuages

un cygne transporte deux filles qui sourient

un château élève ses tours sans âge

Trois moutons rentrent à la bergerie

Confinée chez moi, je soupire d’envie

J’aime ma famille et je sais qu’elle m’aime aussi

Mais parfois dans nos voix grondent des orages

Il est difficile ma foi, d’être toujours sages

Mes sœurs prennent de la place

l’appartement est petit

et le cœur plein de tendresse

des parents peut être aussi ?

Quand je me sens inquiète

Je pleure dans mon lit

Les histoires se tiennent prêtes

à m’emmener loin d’ici.

- Mathilde Fauve

Pour bien commencer, ma petite journée...

Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 29 août 

Thème : café/dernières fois

. .

C’est fini, j’arrête le café.

C’est mauvais pour la santé, ça me stresse, ça gêne mon sommeil. Sans oublier que c’est dégueulasse. Je ne peux pas le boire sans rajouter du lait ou du sucre – ou encore mieux, les deux, voir même de la chantilly. Je ne l’aime même pas, le café. Ça va être très simple. Sevrage sec. De toutes manières, je n’en buvais pas tant que ça. Je ne suis même pas sûre que je verrai une différence.

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J’ai envie de mourir.

Le mal de crâne est une horreur. Mes pensées ne sont plus qu’un petit tas de boue vaseuse mollement agitées par le bâton d’un gamin à moitié endormi. Et j’ai moins d’énergie qu’un combat de pokémon entre un coconfort et un chrysacier.

Pitié, que quelqu’un m’achève.

Tant pis, je vais reprendre un café. Il faut que je survive à cette journée, et que je sois opérationnelle pour la réunion. C’est important, c’est pour mon travail ! Et ce sera la dernière fois.

.

Bon. Ça n’a pas été la dernière fois, mais je me contrôle maintenant. Pas plus d’une tasse par jour, le matin, histoire de dormir malgré tout. Oui, tant qu’à me limiter à une tasse, on est plutôt sur un mug, voir un bol, mais après tout c’est un classique, le bol de café le matin, et ça n’a jamais empêché personne de dormir, non ? Ça suffira bien.

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Ça n’a pas suffit. Ça n’a pas suffit du tout. Il faut vraiment que j’arrête. Il faut absolument, définitivement que j’arrête. Cette nuit, j’ai dormi trois heures. Celle d’avant, quatre. Celle d’encore avant, quatre et demi. Et la précédente, deux.

J’ai tenu un certain temps, et là je m’écroule.

Ce que je compense avec plus de café.

Donc maintenant c’est bon, j’ai compris ma leçon. C’est triste, il y a des milliards de gens qui vivent très bien sous caféine, ce n’est pas mon cas, il faut que je me fasse une raison. Cette fois, c’est la dernière fois. Promis, juré, craché, j’arrête.

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Je suis une loque essorée jusqu’à la moelle de la dernière goutte d’énergie qui lui restait.

Que quelqu’un m’achève.

Comment fonctionnait mon cerveau, avant ? Il y a bien eu une époque où ce cerveau marchait sans caféine. Je m’en souviens. A peu près.

Plus envie de rien. Tout s’accumule.  Et s’accumule. Et s’accumule…

. Ok, j’ai repris, mais j’étais très stressée ! Et puis une tasse ça ne va pas me tuer. Ce n’est pas de la cigarette non plus !

Cette fois, c’est dit, c’est décidé, c’est la dernière fois.

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Dora Maar, Marionnette accrochée à une palissade, 1934. Collezione Jill Quasha, New York

Se sentir rejeté

Les sentiments se bloquent avant qu'elle ne s'effondre . Les larmes qui affluent vers ces yeux semble s'évanouir dans l'engourdissement ressentit.

Un instant de solitude immerge subitement . La douleur s'installe lentement . Petit à petit, elle envahi son être . Dégout et remord se frayent un chemin vers son coeur meurtrie .

L'espoir est-il encore permis ? Elle n'en sait rien et ne veut plus y croire . Cette relation existera-telle un jour ?

La patience obtient-elle tout ?

De Sanchopanzapandora47

Nouveau compte .

Ne me le demande pas

Pourquoi survivre Pourquoi vivre Aimer, être heureux Semble si loin Rêver, Nous somme deux Dans notre coin Que se passe-t-il dans un cœur, Quand il s'éteint? Ou va toute notre rancœur Tout parait vain, Se relever Regarder vers l'avenir Ne me le demand’ pas, Se redresser Je ne le pourrai pas Accabler et en finir, rire ou périr Choisir de vivr’ Les regrets s'estomperont, Les souvenirs tomberons Dans l'oubli Emporté par le vent, Dans le sombre néant Allez en avant Mais pas maintenant, Ne me le demande pas Car je n'y arrive pas . le 18/12/2008

Y lo mas triste en estos días de depresión es que la lluvia y el frio son los únicos que me consuelan

G R A P H T O B E R  2 0 2 0  |  J.03 S.01

Typographie : Courier 

Mot-clé : tristesse

Merci à @graphtober @andthereisawoman pour le challenge ! ♥